systèmes » souligne Alban Noguès. Et de préciser : « Au bout de 3 ans, le RPA ne représentant généralement plus un coût, Demain, les services informatiques peuvent se concentrer sur l’agilité de leurs architec- les robots prendront tures logicielles ! » Clairement, le RPA semble promis pour éventuellement des Quelques chiffres-clés durer. « On va vers de l’interopérabilité décisions. Mais cela sur le RPA avec d’autres technologies comme la re- connaissance de caractères ou d’images, posera la question ou du machine learning. Par exemple, des de l’auditabilité d’une fonds de gestion automatisent la consul- 74% tationpour détecter des incohérences avec lades documents commerciaux intelligence artificielle ! des DSI du secteur finance réglementation ou la stratégie d’investis- sement du client » rapporte Maximilien ont pour priorité l’automatisation Nayaradou. Et l’intelligence artficelei i l des processus. alors ? « Aujourd’hui, le RPA traite des processus spécifiques. Demain, il prendra éventuellement des décisions. Pourtant, cela risque de toucher à un point gris : 50 90à % comment auditer une intelligence artifi-cielle ? » s’interroge Alban Noguès. de coût économisé grâce à un assistant automatisé par rapport à un traitement manuel de50 200à % Un retour sur investissement entre 30 et 200% dans la 1 ère année